De la rue au fil de presse. Grèves étudiants et relations publiques
Parution: 17 décembre 2013
-
Nb. de pages:
186
Est-il possible de concilier l’action politique se déroulant dans la rue et les stratégies d’interventions menées dans l’espace médiatique ? À partir de l’expérience des mouvements étudiants québécois de 2005 et de 2012 et à la lumière des travaux des philosophes Nancy Fraser et Axel Honneth, l’auteure porte un regard critique sur les stratégies de communication déployées par les groupes de revendications.
Sa conclusion se lit comme un défi tourné vers l’avenir. Plutôt que de chercher à évacuer les tensions par un refus catégorique de recourir aux relations publiques ou par la reproduction des modèles professionnalisés, les activistes pourront orienter leurs actions en prenant acte du dilemme et en exerçant leur réflexivité, guidée par une culture de démocratie participative.
Sa conclusion se lit comme un défi tourné vers l’avenir. Plutôt que de chercher à évacuer les tensions par un refus catégorique de recourir aux relations publiques ou par la reproduction des modèles professionnalisés, les activistes pourront orienter leurs actions en prenant acte du dilemme et en exerçant leur réflexivité, guidée par une culture de démocratie participative.
Description
Le recours aux relations publiques peut-il mener à une plus grande participation démocratique, à des changements politiques profonds et durables ? Est-il possible de concilier l’action politique se déroulant dans la rue et les stratégies d’interventions menées dans l’espace médiatique ?
À partir de l’expérience des mouvements étudiants québécois de 2005 et de 2012 et à la lumière des travaux des philosophes Nancy Fraser et Axel Honneth, l’auteure porte un regard critique sur les stratégies de communication déployées par les groupes de revendications.
Sa conclusion se lit comme un défi tourné vers l’avenir. Plutôt que de chercher à évacuer les tensions par un refus catégorique de recourir aux relations publiques ou par la reproduction des modèles professionnalisés, les activistes pourront orienter leurs actions en prenant acte du dilemme et en exerçant leur réflexivité, guidée par une culture de démocratie participative.
À partir de l’expérience des mouvements étudiants québécois de 2005 et de 2012 et à la lumière des travaux des philosophes Nancy Fraser et Axel Honneth, l’auteure porte un regard critique sur les stratégies de communication déployées par les groupes de revendications.
Sa conclusion se lit comme un défi tourné vers l’avenir. Plutôt que de chercher à évacuer les tensions par un refus catégorique de recourir aux relations publiques ou par la reproduction des modèles professionnalisés, les activistes pourront orienter leurs actions en prenant acte du dilemme et en exerçant leur réflexivité, guidée par une culture de démocratie participative.
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