Côte-de-Beaupré et île d’Orléans
Parution: 24 août 2011
- Collection:
-
Nb. de pages:
198
Description
Les terres fertiles de la Côte-de-Beaupré et de l’île d’Orléans sont les premières à retenir l’attention des immigrants français qui s’installent en Nouvelle-France, à partir de 1608. Des seigneurs et des agriculteurs organisent leur mise en valeur et, depuis cette époque, la région conserve cette vocation agricole, au gré des transformations des marchés. À travers ses églises et ses habitations anciennes, elle témoigne des richesses patrimoniales qui ont survécu nombreuses et sont encore inscrites dans des paysages ayant échappé, en grande partie, à l’envahissement de la modernité. Profondément française dans son héritage culturel, elle traverse aussi les étapes du développement économique du reste du Québec, tout particulièrement l’exploitation forestière de son vaste arrière-pays et la transformation de ses produits.
La Côte-de-Beaupré et l’île d’Orléans attirent très tôt des visiteurs et des touristes, d’abord, au XIXe siècle, au célèbre pèlerinage de Sainte-Anne-de-Beaupré, puis récemment à ses nombreux sites patrimoniaux et aux activités récréatives et sportives dans les parcs et les sites naturels, tout particulièrement au mont Sainte-Anne. Les touristes y viennent au début par bateau, puis par chemin de fer et plus récemment par la route, souvent en conjonction avec une visite de Québec. Depuis le début de son peuplement, la région se développe dans l’orbite de Québec où elle envoie ses produits et ses jeunes pour s’y former et d’où proviennent des villégiateurs et, depuis les années 1960, des banlieusards qui transforment plusieurs parties de la région en banlieues éloignées de la ville de Québec.
La Côte-de-Beaupré et l’île d’Orléans attirent très tôt des visiteurs et des touristes, d’abord, au XIXe siècle, au célèbre pèlerinage de Sainte-Anne-de-Beaupré, puis récemment à ses nombreux sites patrimoniaux et aux activités récréatives et sportives dans les parcs et les sites naturels, tout particulièrement au mont Sainte-Anne. Les touristes y viennent au début par bateau, puis par chemin de fer et plus récemment par la route, souvent en conjonction avec une visite de Québec. Depuis le début de son peuplement, la région se développe dans l’orbite de Québec où elle envoie ses produits et ses jeunes pour s’y former et d’où proviennent des villégiateurs et, depuis les années 1960, des banlieusards qui transforment plusieurs parties de la région en banlieues éloignées de la ville de Québec.
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