Denys Arcand. Mille plateaux
Parution: 28 février 2014
-
Nb. de pages:
138
«Finalement, ce qui reste, lorsqu’on referme le livre, c’est le portrait en kaléidoscope, parfois touchant, d’un créateur doué mais aussi d’un homme comme les autres, porté par le regard bienveillant d’un ami comme Réal La Rochelle.»
Alain Lefebvre, Recherches sociographiques, vol. 56, numéro 1,2015.
http://id.erudit.org/iderudit/1030288ar
Alain Lefebvre, Recherches sociographiques, vol. 56, numéro 1,2015.
http://id.erudit.org/iderudit/1030288ar
Description
Quand on me demande comment je vois ma propre trajectoire dans le cinéma québécois, je réponds que je ne la vois pas. Je n’y pense pas, je laisse cette problématique à d’autres. […] Mon problème est mon prochain scénario. J’y pense tout le temps. Je suis dans un état d’obsession total. C’est quoi le premier plan ? Comment va-t-on le tourner ? […] Je vais finir en faisant des films, c’est ça que j’aime et c’est ce dans quoi je suis le meilleur.
Denys Arcand
En 2004, ma biographie d’Arcand s’achevait avec Les Invasions barbares. De l’eau a coulé depuis sous les ponts. En 2014, sur nos écrans, le cinéaste sort un nouveau film, Le règne de la beauté. Il est tentant de faire le point, d’autant plus que, une fois encore, se manifeste à l’endroit du cinéaste ce curieux phénomène d’amour-haine qui l’a stigmatisé tout au long de sa trajectoire.
Réal La Rochelle
Denys Arcand
En 2004, ma biographie d’Arcand s’achevait avec Les Invasions barbares. De l’eau a coulé depuis sous les ponts. En 2014, sur nos écrans, le cinéaste sort un nouveau film, Le règne de la beauté. Il est tentant de faire le point, d’autant plus que, une fois encore, se manifeste à l’endroit du cinéaste ce curieux phénomène d’amour-haine qui l’a stigmatisé tout au long de sa trajectoire.
Réal La Rochelle
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