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Histoire du Nord-du-Québec

Histoire du Nord-du-Québec

Discipline: Histoire
Parution: 24 octobre 2012
Ce livre fait état de l’histoire du Nord-du-Québec depuis les périodes les plus anciennes jusqu’à nos jours . Pour reprendre le propos de l’un des plus illustres spécialistes du Nord, Louis-Edmond Hamelin, ce livre a pour but de « faire le dit du Nord de le raconter, sous toutes ces formes, pour toute époque, en tous lieux, à tout niveau, à tous points de vue et à toutes langues ». L’ouvrage a également pour objectif de présenter une région encore méconnue par la majorité des citoyens et qui renvoie même à des clichés comme ceux d’un Nord inhabitable.

Description

Des mécènes anglais financent sa recherche du passage du Nord-Ouest en 1610. Il [Henry Hudson] navigue à bord du Discovery jusqu’en Islande et pénètre dans le détroit d’Hudson au début de juin, gouvernant son petit navire dans la brume et à travers les glaces, et [...] pénètre dans la baie James, lieu désolé, louvoyant futilement à la recherche d’une ouverture vers les îles aux épices. Il tire le Discovery à sec et passe un morne hiver, probablement au bord de la rivière Rupert.
James Marsh,
Henry Hudson, http://www.encyclopediecanadienne.ca.
Les récits d’Albanel et de Jolliet ne sont d’aucun secours. Ces précurseurs ne cherchaient pas tant à explorer la région entre le lac Saint- Jean et le lac Mistassini qu’à accomplir à la baie James leurs missions politique, économique et évangélique. Les explorateurs récents contribueront davantage. James Richardson se rend en 1870 au lac Mistassini en passant par la rivière Ashouapmouchouan, le lac Nicaubau et le lac Chibougamau. Walter McQuat, pour continuer les travaux de Richardson, atteint le lac Mistassini en 1871 en montant la rivière Mistassini [...], puis en gagnant la rivière du Chef à l’ouest pour arriver finalement au grand lac par la baie Cabistachouan (nommé Opitouk par les Indiens). Cette traversée de la rivière Mistassini à la rivière du Chef n’est pas inhabituelle et McQuat l’a entreprise pour rechercher des terrains cuprifères analogues à ceux qu’avait repérés plus à l’est Richardson en 1870. James Galbraith, en 1881, va du lac Supérieur à la baie James et de là au lac Mistassini et à Tadoussac...
Jacques Rousseau, « L e voyage d’André Michaux au lac Mistassini en 1792 »,
Mémoires du Jardin botanique de Montréal, 1948, p. 911.

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