Ceci est une alerte:

Important :
En raison de circonstances indépendantes de notre volonté, le délai de livraison des commandes dépasse désormais les 10 jours. Nous nous excusons pour les inconvénients que cela pourrait causer. Nous tenons également à vous informer que nos bureaux seront fermés du 20 décembre 2024 au 5 janvier 2025. Pendant cette période, nous ne répondrons à aucun courriel et aucune commande ne sera expédiée. Toute l’équipe des Presses de l’Université Laval vous souhaite un heureux temps des Fêtes et vous offre ses meilleurs vœux pour la nouvelle année!


Seul et avec l’autre. La vie en colocation dans un quartier populaire de Québec

Seul et avec l’autre. La vie en colocation dans un quartier populaire de Québec

Discipline: Sociologie
Parution: 26 mai 2003
  • Nb. de pages:
    180

Description

Alors qu’on s’inquiète de la crise du logement, de l’individualisme grandissant et de l’isolement qui s’ensuit, des milliers de nouveaux ménages de colocataires se forment partout chaque année au Québec, complexifiant plus encore le tissu social urbain. Dans un contexte social et culturel où il n’est pas toujours possible de vivre en couple, mais où on n’a pas nécessairement ni l’envie ni les moyens de vivre seul, la colocation s’avère une réponse astucieuse, permettant à la fois de se loger à moindre coût et de rompre l’isolement, sans pour autant s’engager dans un projet de vie à long terme.
Cette enquête de terrain, menée pour une maîtrise en ethnologie à l’Université Laval, auprès d’informateurs qui vivent en colocation, permet de mieux comprendre cette nouvelle façon d’habiter, d’organiser le quotidien et de négocier le rapport à l’autre. La constitution d’un ménage éphémère, avec un non-intime, donne lieu à un jeu permanent de rapprochement et de mise à distance dans la construction d’un chez-soi. Vivre en colocation, c’est en fin de compte être à la fois seul dans sa trajectoire de vie et avec d’autres au quotidien.

À propos de ce livre

Dans les médias

Compte rendu de Marie-Blanche Fourcade, Language and Culture, Vol. 25, No 2, 2003.

Revenir en haut