Ceci est une alerte:

Important :
En raison de circonstances indépendantes de notre volonté, le délai de livraison des commandes dépasse désormais les 10 jours. Nous nous excusons pour les inconvénients que cela pourrait causer. Nous tenons également à vous informer que nos bureaux seront fermés du 20 décembre 2024 au 5 janvier 2025. Pendant cette période, nous ne répondrons à aucun courriel et aucune commande ne sera expédiée. Toute l’équipe des Presses de l’Université Laval vous souhaite un heureux temps des Fêtes et vous offre ses meilleurs vœux pour la nouvelle année!


Aux chevaliers du nœud coulant. Poèmes et chansons

Parution: 10 décembre 2007
  • Nb. de pages:
    566

Description

Rémi Tremblay

Édition établie, présentée et annotée par
Jean Levasseur

Parcourir cette anthologie, c’est se plonger dans le savoureux univers du Québec et du Canada du dernier quart du XIX
e siècle, avec son sysème politique corrompu, ses politiciens véreux et immoraux, ses événements marquants, mais aussi les joyeux — et moins joyeux — travers du quotidien de cette classe ouvrière dont le poète était issu. Les acteurs de cette époque, grands et petits, connus ou oubliés, y reprennent vie, dans des textes d’une facture la plupart du temps légère, mais quelquefois aussi lyrique, des textes toujours avivés par un talent inné, une chaleur et un plaisir du vers que le Poète national du Canada français, Louis Fréchette, aura remarqué avec joie.

Journaliste et écrivain, Rémi Tremblay (1847-1926) dirigea plusieurs des journaux les plus influents de son époque (
La Patrie, Le Courrier de Montréal, Le Canard, etc.), publia un récit de voyage, un roman en partie autobiographique (Un revenant), où il était question de sa particiation à la guerre de Sécession américaine, et cinq recueils de poésie. L’un de ses poèmes, Aux chevaliers du nœud coulant, fut lu et discuté à la Chambre des communes et valut à l’auteur d’être congédié de son poste de traducteur, seul exemple de censure politique du XIXe siècle canadien. Une autre façon de vivre l’Histoire.


Revenir en haut