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Le référendum de souveraineté. Comparaisons, critiques et commentaires

Discipline: Science politique
Parution: 28 avril 2010
  • Nb. de pages:
    196
Cet ouvrage porte exclusivement sur le référendum de souveraineté à l’exclusion des référendums traitant de sujets domestiques. Il se situe à un point de rencontre privilégié entre science politique, relations internationales, histoire, géographie, droit et éthique. Les comparaisons, commentaires et critiques de l’auteur ont pour sujet ou pour toile de fond les 190 référendums de souveraineté qui, de 1791 à 2009, ont eut pour but et, dans la plupart des cas, pour effet soit de transférer un peuple et un territoire d’une souveraineté à une autre, soit de joindre des souverainetés distinctes, soit d’affirmer une volonté de maintien du statu quo, soit enfin de fractionner un État en deux ou plusieurs autres.

Description

À la différence de la plupart des ouvrages traitant du référendum, celui-ci porte exclusivement sur le référendum de souveraineté à l’exclusion des référendums traitant de sujets domestiques. Il se situe donc à un point de rencontre privilégié entre science politique, relations internationales, histoire, géographie, droit et éthique. Les comparaisons, commentaires et critiques de l’auteur ont pour sujet ou pour toile de fond les quelque 190 référendums de souveraineté qui, de 1791 à 2009, ont eut pour but et, dans la plupart des cas, pour effet soit de transférer un peuple et un territoire d’une souveraineté à une autre, soit de joindre des souverainetés distinctes, soit d’affirmer une volonté de maintien du statu quo, soit enfin de fractionner un État en deux ou plusieurs autres. L’auteur porte une attention particulière aux référendums des deux après guerres mondiales, notamment celui du Schleswig de 1920 qui marque une remarquable avancée procédurale en permettant aux électeurs de choisir et souveraineté et frontière, donc de mieux protéger les minorités des minorités. La diplomatie contemporaine a, sauf rares exceptions, abandonné cette pratique. À grand tort, pense l’auteur.

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