Ceci est une alerte:

Important :
Nos bureaux seront fermés du 20 décembre 2024 au 5 janvier 2025. Aucune commande ne sera expédiée après le 18 décembre, 15h. Toute l’équipe des Presses de l’Université Laval vous souhaite un heureux temps des Fêtes et vous offre ses meilleurs vœux pour la nouvelle année!


Les Cahiers du journalisme. Été 2007, no 17: Faits divers. Faits de société

Discipline: Journalisme
Parution: 21 août 2007

Description

Le travail d’édition d’une revue scientifique et professionnelle comme Les Cahiers du journalisme n’est pas un long fleuve tranquille. Malgré les contraintes multiples qui pèsent sur ce genre d’aventure éditoriale – surtout quand la prétention est internationale – les motifs de satisfaction sont aujourd’hui plus nombreux que jamais.
D’abord parce que les propositions d’articles se multiplient des deux côtés de l’Atlantique. Témoin ce numéro 17, le plus volumineux de l’histoire des C
ahiers. Le numéro 18, sur le thème de la médiation de presse, affiche déjà complet pour l’automne prochain. Quant au numéro 19, consacré aux nouveaux défis de la formation en journalisme, il génère déjà un enthousiasme qui témoigne de l’urgence du sujet dans nos écoles et dans nos centres. Le 20 portera pour sa part sur le photo-journalisme, autre thème majeur. Bref, les idées et les envies foisonnent comme jamais.
Côté contenant, nous nous sommes attelés depuis quelques mois à la mise en ligne intégrale* – et libre d’accès – des contenus de l’ensemble de la collection afin de mieux répondre à une demande qui dépassait nos capacités de distribution et surtout d’archivage. La tâche est immense au plan technique, mais nous avons décidé d’y consacrer tous les moyens nécessaires tant les attentes sont pressantes ! D’ici la fin de l’année 2007, nous n’aurons enfin plus à répondre à tel journaliste ou à tel chercheur que l’ancien numéro X est épuisé, ou que la livraison du dernier-né prendra encore des mois. Nos réflexions et nos débats sur le métier n’ont de sens – et d’utilité – qu’à guichets ouverts. Loin de nous l’idée d’abandonner la version papier (pas de journalisme sans Gutenberg), mais le levier numérique était devenu une priorité pour mieux rejoindre au sein de la francophonie tous ceux qui s’intéressent à l’évolution des pratiques journalistiques et à l’avenir du métier. Et tant mieux pour nous si c’est, en même temps, le moyen rêvé d’une visibilité accrue...
En somme, des nouvelles plutôt bonnes en aval et en amont. Merci aux auteurs et aux lecteurs qui vont nous aider à rester, lucidité et passion obligent, en mouvement.

Revenir en haut