Le cinquième pouvoir. La nouvelle imputabilité des médias envers leurs publics
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Nb. de pages:
334
Description
« Nombreux sont ceux qui croient que ce critique interne, l'ombudsman, appartient à une espèce en voie d’extinction au sein des démocraties occidentales. Deux raisons à cela: l’impression que les salles de rédaction n’ont plus besoin d’ombudsman dans une ère de blogueurs et d’interactions en ligne, et la certitude qu’un tel poste coûte trop cher. », Hélène Roulot-Ganzmann, ProjetJ.ca Observatoire du journalisme, décembre 2016
« Le cinquième pouvoir: chien de garde des chiens de garde.Intéressante, la lecture du plus récent collectif dirigé par Marc-François Bernier... Enfin, le bouquin rappelle que même si la critique déplaît et que des egos sont froissés, les journalistes ne peuvent plus faire totalement abstraction de cette voix de moins en moins silencieuse. On comprend que la montée du cinquième pouvoir n’est pas qu’une tendance temporaire et qu’il fait désormais partie de l’univers médiatique à titre d’acteur à part entière.» Marie-Ève Martel, Journaliste, rédactrice, passionnée des médias.
À propos de ce livre
Dans les médias
Compte rendu de Gilles Labarthe, Revue Communication, vol. 35, no 1, 2018.
Compte rendu de Marie-Ève Martel, 16 janvier 2017.
Le public remplacera-t-il bientôt les ombudsmans? par Hélène Roulot-Ganzmann, ProjetJ.ca, Observatoire du journalisme, 7 décembre 2016.