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Ma culture, c’est les mains. La quête identitaire des Sourds au Québec

Ma culture, c’est les mains. La quête identitaire des Sourds au Québec

Parution: 24 septembre 2009
Le présent ouvrage cherche à comprendre ce qui pousse certains individus à braver les euphémismes et à affirmer fièrement « je suis Sourd » afin de dire leur différence.

Description

Préface de Henri-Jacques Stiker

Le présent ouvrage vise à comprendre ce qui pousse certains individus à braver les euphémismes et à affirmer fièrement « je suis Sourd » afin de dire leur différence. Cette affirmation identitaire fait entrer dans l’Histoire une nouvelle façon de considérer la différence corporelle de ces personnes qui tentent de se définir à partir d’une culture spécifique plutôt que selon une particularité strictement biologique.

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« Revenir aux sourds eux-mêmes ne consiste pas seulement à analyser la sémantique de leurs diverses langues des signes (LSQ, LSF, et toutes les autres) − démarche somme toute assez récente que Mottez pratiquait, mais spécialement développée par l’anthropologue Yves Delaporte −, il faut aussi prendre en compte ce que Charles Gaucher nomme les fondements expérientiels de l’identité sourde. Sous ce titre, il montre comment se construit cette identité irrécusable et indispensable, mais pourtant plus souple qu’un discours convenu le laisserait penser. Ces analyses sont pleines d’aspects inattendus et sont révélatrices de pratiques originales. C’est un vrai régal de pénétrer ainsi dans le quotidien et l’inventivité des sourds. »

« La culture des mains, pour reprendre le titre suggestif de Charles Gaucher, qui est déploiement dans le visuel, possède la légèreté de la danse et la plasticité du geste. Il serait contradictoire d’en faire le symbole d’une fixité et d’un repli sur soi. »

(Extraits de la préface de Henri-Jacques Stik
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