Ceci est une alerte:

Important :
En raison de circonstances indépendantes de notre volonté, le délai de livraison des commandes dépasse désormais les 10 jours. Nous nous excusons pour les inconvénients que cela pourrait causer. Nous tenons également à vous informer que nos bureaux seront fermés du 20 décembre 2024 au 5 janvier 2025. Pendant cette période, nous ne répondrons à aucun courriel et aucune commande ne sera expédiée. Toute l’équipe des Presses de l’Université Laval vous souhaite un heureux temps des Fêtes et vous offre ses meilleurs vœux pour la nouvelle année!


Une histoire comparée de la philosophie des sciences. Volume 1. Aux sources du Cercle de Vienne

Une histoire comparée de la philosophie des sciences. Volume 1. Aux sources du Cercle de Vienne

Discipline: Philosophie
Parution: 22 avril 2010
Une étude comparée des théories de la connaissance chez les savants du 19e siècle et les philosophes du début du 20e siècle

Description

Ce traité d’épistémologie comparée offre une étude des développements les plus marquants qui ont précédé et qui ont suivi l’émergence du Cercle de Vienne.

Le premier volume présente la tradition des « savants-philosophes ». Vers la seconde moitié du XI
Xe siècle s’amorce une profonde réflexion épistémologi que chez des scientifiques de pointe tels Hermann von Helmholtz, Heinrich Hertz, Ernst Mach, Ludwig Boltzmann et, du côté des Français, Pierre Duhem et Henri Poincaré. L’avènement de la « nouvelle logique » et, surtout, l’essor des investigations axiomatiques formelles promulguées par David Hilbert menèrent le Cercle de Vienne à prendre fait et cause pour l’autonomie de la méthode logique par rapport aux approches antérieures qui avaient partie liée avec la méthode historique ou encore le psychologisme.

Le second volume scrute le volet sémantique de la conception empiriste logi que venue à maturité aux mains de Rudolf Carnap et de Carl Hempel dans les années 1948-1958. Suit alors une étude comparative critique des conceptions les plus connues qui se sont développées en réaction à l’empirisme logique ou en retrait de ce dernier : celles, dès les années 1930, de Karl Popper et de Gaston Bachelard ; puis, au début des années 1960, celles de Thomas Kuhn, d’Imre Lakatos et de Paul Feyerabend. La principale critique que l’auteur adresse à l’empirisme logique ne provient cependant pas de ces sources ; elle porte plutôt sur l’incapacité, chez les tenants de l’approche logique, à élaborer le constructivisme mathématique que leur projet nécessitait.

Ce travail sur la philosophie des sciences comparée n’a pas d’équivalent dans le monde francophone et ailleu
rs.

Suggestions de lecture

Revenir en haut