L’homme est né libre...! Raison, politique, droit. Mélanges offerts à Paule-Monique Vernes.
Parution: 02 juillet 2014
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Nb. de pages:
412
Paule-Monique Vernes, professeure émérite de l’Université de Provence, agrégée de philosophie, docteure d’État, était une spécialiste du dix-huitième siècle de renommée internationale. C’est surtout à Jean-Jacques Rousseau, son auteur de prédilection, compagnon de toute une vie, qu’elle aura consacré l’essentiel de son œuvre de chercheure.
L’homme est né libre, entrepris à la mémoire de Paule-Monique Vernes aussitôt après son décès soudain, survenu le 15 janvier 2013, entend rendre hommage à l’indépendance d’esprit et au talent d’écrivain qui caractérisent ses travaux et sa personnalité. Trois textes inédits de Paule-Monique Vernes, traitant respectivement du cynisme ancien et moderne, de Machiavel, et de la « qualité sociale » chez Rousseau, sont ici accompagnés de vingt-deux contributions de ses collègues et amis, français, canadiens, italiens – autant d’échos à une pensée riche, accueillante aux autres, ouverte sur le monde.
Ces études se regroupent autour de trois balises philosophiques interdépendantes, raison, politique, droit, qui jalonnent l’œuvre en mouvement de Paule-Monique Vernes. Elles entrent en dialogue avec sa réflexion originale sur Rousseau ou alors développent des problématiques d’une actualité pérenne, que ses travaux ont su capter ou anticiper. Ainsi se rencontrent, dans un premier moment, Sartre et Rousseau, Jean Damascène et l’Islam, capitalisme et critique rousseauiste, Encyclopédie et Encyclopédie méthodique. Un deuxième moment lui succède, éthique et politique : des formules de politesse de l’Ancien régime, en passant par la présence et la disparition du bonheur dans les Constitutions, à l’art américain – art d’exception et d’expansion –, illustrant sous un jour singulier que tout tient en effet à la politique, selon une célèbre observation de Rousseau. Enfin, dans un troisième temps, d’esprit juridique, sont interrogés, à travers les débats d’aujourd’hui et d’hier, la légitimité de la torture ou bien la logique de l’aveu ou encore le cosmopolitisme, les valeurs culturelles, le droit universel.
Le lecteur trouvera, en annexe de ces Mélanges, une bio-bibliographie de Paule-Monique Vernes. Un poème d’une ancienne étudiante clôture le volume, offrant en miroir l’image de la professeure inoubliable.
L’homme est né libre, entrepris à la mémoire de Paule-Monique Vernes aussitôt après son décès soudain, survenu le 15 janvier 2013, entend rendre hommage à l’indépendance d’esprit et au talent d’écrivain qui caractérisent ses travaux et sa personnalité. Trois textes inédits de Paule-Monique Vernes, traitant respectivement du cynisme ancien et moderne, de Machiavel, et de la « qualité sociale » chez Rousseau, sont ici accompagnés de vingt-deux contributions de ses collègues et amis, français, canadiens, italiens – autant d’échos à une pensée riche, accueillante aux autres, ouverte sur le monde.
Ces études se regroupent autour de trois balises philosophiques interdépendantes, raison, politique, droit, qui jalonnent l’œuvre en mouvement de Paule-Monique Vernes. Elles entrent en dialogue avec sa réflexion originale sur Rousseau ou alors développent des problématiques d’une actualité pérenne, que ses travaux ont su capter ou anticiper. Ainsi se rencontrent, dans un premier moment, Sartre et Rousseau, Jean Damascène et l’Islam, capitalisme et critique rousseauiste, Encyclopédie et Encyclopédie méthodique. Un deuxième moment lui succède, éthique et politique : des formules de politesse de l’Ancien régime, en passant par la présence et la disparition du bonheur dans les Constitutions, à l’art américain – art d’exception et d’expansion –, illustrant sous un jour singulier que tout tient en effet à la politique, selon une célèbre observation de Rousseau. Enfin, dans un troisième temps, d’esprit juridique, sont interrogés, à travers les débats d’aujourd’hui et d’hier, la légitimité de la torture ou bien la logique de l’aveu ou encore le cosmopolitisme, les valeurs culturelles, le droit universel.
Le lecteur trouvera, en annexe de ces Mélanges, une bio-bibliographie de Paule-Monique Vernes. Un poème d’une ancienne étudiante clôture le volume, offrant en miroir l’image de la professeure inoubliable.
Description
Paule-Monique Vernes, professeure émérite de l’Université de Provence, agrégée de philosophie, docteure d’État, était une spécialiste du dix-huitième siècle de renommée internationale. C’est surtout à Jean-Jacques Rousseau, son auteur de prédilection, compagnon de toute une vie, qu’elle aura consacré l’essentiel de son œuvre de chercheure.
L’homme est né libre, entrepris à la mémoire de Paule-Monique Vernes aussitôt après son décès soudain, survenu le 15 janvier 2013, entend rendre hommage à l’indépendance d’esprit et au talent d’écrivain qui caractérisent ses travaux et sa personnalité. Trois textes inédits de Paule-Monique Vernes, traitant respectivement du cynisme ancien et moderne, de Machiavel, et de la « qualité sociale » chez Rousseau, sont ici accompagnés de vingt-deux contributions de ses collègues et amis, français, canadiens, italiens – autant d’échos à une pensée riche, accueillante aux autres, ouverte sur le monde.
Ces études se regroupent autour de trois balises philosophiques interdépendantes, raison, politique, droit, qui jalonnent l’œuvre en mouvement de Paule-Monique Vernes. Elles entrent en dialogue avec sa réflexion originale sur Rousseau ou alors développent des problématiques d’une actualité pérenne, que ses travaux ont su capter ou anticiper. Ainsi se rencontrent, dans un premier moment, Sartre et Rousseau, Jean Damascène et l’Islam, capitalisme et critique rousseauiste, Encyclopédie et Encyclopédie méthodique. Un deuxième moment lui succède, éthique et politique : des formules de politesse de l’Ancien régime, en passant par la présence et la disparition du bonheur dans les Constitutions, à l’art américain – art d’exception et d’expansion –, illustrant sous un jour singulier que tout tient en effet à la politique, selon une célèbre observation de Rousseau. Enfin, dans un troisième temps, d’esprit juridique, sont interrogés, à travers les débats d’aujourd’hui et d’hier, la légitimité de la torture ou bien la logique de l’aveu ou encore le cosmopolitisme, les valeurs culturelles, le droit universel.
Le lecteur trouvera, en annexe de ces Mélanges, une bio-bibliographie de Paule-Monique Vernes. Un poème d’une ancienne étudiante clôture le volume, offrant en miroir l’image de la professeure inoubliable.
L’homme est né libre, entrepris à la mémoire de Paule-Monique Vernes aussitôt après son décès soudain, survenu le 15 janvier 2013, entend rendre hommage à l’indépendance d’esprit et au talent d’écrivain qui caractérisent ses travaux et sa personnalité. Trois textes inédits de Paule-Monique Vernes, traitant respectivement du cynisme ancien et moderne, de Machiavel, et de la « qualité sociale » chez Rousseau, sont ici accompagnés de vingt-deux contributions de ses collègues et amis, français, canadiens, italiens – autant d’échos à une pensée riche, accueillante aux autres, ouverte sur le monde.
Ces études se regroupent autour de trois balises philosophiques interdépendantes, raison, politique, droit, qui jalonnent l’œuvre en mouvement de Paule-Monique Vernes. Elles entrent en dialogue avec sa réflexion originale sur Rousseau ou alors développent des problématiques d’une actualité pérenne, que ses travaux ont su capter ou anticiper. Ainsi se rencontrent, dans un premier moment, Sartre et Rousseau, Jean Damascène et l’Islam, capitalisme et critique rousseauiste, Encyclopédie et Encyclopédie méthodique. Un deuxième moment lui succède, éthique et politique : des formules de politesse de l’Ancien régime, en passant par la présence et la disparition du bonheur dans les Constitutions, à l’art américain – art d’exception et d’expansion –, illustrant sous un jour singulier que tout tient en effet à la politique, selon une célèbre observation de Rousseau. Enfin, dans un troisième temps, d’esprit juridique, sont interrogés, à travers les débats d’aujourd’hui et d’hier, la légitimité de la torture ou bien la logique de l’aveu ou encore le cosmopolitisme, les valeurs culturelles, le droit universel.
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