La physique de l’homme chez Regius suivi de En quoi le Traité de l’Homme de Descartes peut-il être lu comme un texte matérialiste?
Parution: 17 novembre 2010
- Collection:
-
Nb. de pages:
62
Les récentes études sur l’épais dossier de la querelle d’Utrecht ont mis
au jour le caractère tumultueux des relations entre Descartes et celui
qu’il a pourtant considéré comme son disciple, jusqu’à la brouille définitive.
La première contribution de ce volume aborde cette relation à
partir de l’oeuvre de Regius et à la lumière de l’interrogation suivante :
sur quel type de théorie de la connaissance Regius se fonde-t-il pour
rédiger une physique à laquelle ne manquerait plus ce qui manque aux
Principes de la philosophie de Descartes ? La seconde contribution
montre en quoi et pourquoi les textes divers (de Clerselier, Schuyl, La
Forge) qui accompagnent l’édition posthume du traité de l’Homme,
visent à endiguer toute tentation de lire cet ouvrage comme un manifeste
matérialiste. Elle interroge donc le texte de Descartes à partir de
l’histoire de sa réception, pour en tirer enseignement sur Descartes luimême.
au jour le caractère tumultueux des relations entre Descartes et celui
qu’il a pourtant considéré comme son disciple, jusqu’à la brouille définitive.
La première contribution de ce volume aborde cette relation à
partir de l’oeuvre de Regius et à la lumière de l’interrogation suivante :
sur quel type de théorie de la connaissance Regius se fonde-t-il pour
rédiger une physique à laquelle ne manquerait plus ce qui manque aux
Principes de la philosophie de Descartes ? La seconde contribution
montre en quoi et pourquoi les textes divers (de Clerselier, Schuyl, La
Forge) qui accompagnent l’édition posthume du traité de l’Homme,
visent à endiguer toute tentation de lire cet ouvrage comme un manifeste
matérialiste. Elle interroge donc le texte de Descartes à partir de
l’histoire de sa réception, pour en tirer enseignement sur Descartes luimême.
Description
Les récentes études sur l’épais dossier de la querelle d’Utrecht ont mis au jour le caractère tumultueux des relations entre Descartes et celui qu’il a pourtant considéré comme son disciple, jusqu’à la brouille définitive. La première contribution de ce volume aborde cette relation à partir de l’œuvre de Regius et à la lumière de l’interrogation suivante : sur quel type de théorie de la connaissance Regius se fonde-t-il pour rédiger une physique à laquelle ne manquerait plus ce qui manque aux Principes de la philosophie de Descartes ? La seconde contribution montre en quoi et pourquoi les textes divers (de Clerselier, Schuyl, La Forge) qui accompagnent l’édition posthume du traité de l’Homme, visent à endiguer toute tentation de lire cet ouvrage comme un manifeste matérialiste. Elle interroge donc le texte de Descartes à partir de l’histoire de sa réception, pour en tirer enseignement sur Descartes lui-même.
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