Ceci est une alerte:

Important :
En raison de circonstances indépendantes de notre volonté, le délai de livraison des commandes dépasse désormais les 10 jours. Nous nous excusons pour les inconvénients que cela pourrait causer. Nous tenons également à vous informer que nos bureaux seront fermés du 20 décembre 2024 au 5 janvier 2025. Pendant cette période, nous ne répondrons à aucun courriel et aucune commande ne sera expédiée. Toute l’équipe des Presses de l’Université Laval vous souhaite un heureux temps des Fêtes et vous offre ses meilleurs vœux pour la nouvelle année!


Sadyaq Balae ! L’autochtonie formosane dans tous ses états

Sadyaq Balae ! L’autochtonie formosane dans tous ses états

Parution: 31 octobre 2012
À l'instar des peuples autochtones partout sur la planète, les peuples austronésiens de Formose (Taïwan) ont perdu leur souveraineté à cause d’une histoire coloniale. Les Sadyaqs, avec une population de 35 000 personnes, constituaient traditionnellement une « société contre l’État ». Les Sadyaqs sont désormais encadrés par plusieurs nouvelles institutions étatiques, mais l’esprit de la Gaya continue toujours d’inspirer la résistance, autant contre l’État que contre toute forme d’accommodement avec lui.

Description

À l'instar des peuples autochtones partout sur la planète, les peuples austronésiens de Formose (Taïwan) ont perdu leur souveraineté à cause d’une histoire coloniale. Les Sadyaqs, avec une population de 35 000 personnes, constituaient traditionnellement une « société contre l’État ». Suivant la loi sacrée de la Gaya, qui interdisait toute accumulation de pouvoir ou de richesse, ils étaient jadis des démocrates sans pareils. Ils ont été soumis après 1895 à l’Empire japonais, et ont été intégrés à la République de la Chine à partir de 1945. Les Sadyaqs sont désormais encadrés par plusieurs nouvelles institutions étatiques: des classifications tribales, des réserves autochtones, des projets de développement, des élections et même un nouveau régime juridique des droits autochtones. Mais l’esprit de la Gaya continue toujours d’inspirer la résistance, autant contre l’État que contre toute forme d’accommodement avec lui. Ce livre est l’une des premières ethnographies de l’autochtonie formosane rédigée dans une langue occidentale.

À propos de ce livre

Suggestions de lecture

Revenir en haut